Le réacteur ne devrait pas être mis sur le réseau avant mi-2024. EDF anticipe un surcoût de 500 millions d'euros.
L'EPR de Flamanville n'est plus officiellement un site en chantier, mais en «pré-exploitation». Alors que les installations sont presque prêtes, EDF est confronté à un nouveau défi plus ardu que prévu. L'électricien a été contraint en conséquence d'annoncer un nouveau retard de six mois. La mise en service commerciale du dernier-né des réacteurs français est désormais prévue pour la mi-2024.
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Lors du lancement du chantier, il était prévu que l'EPR démarre en 2012. Au gré des difficultés rencontrées, cette date a été successivement reportée à 2017, puis à 2018 (à cause de soudures problématiques), puis à 2022 (pour les mêmes raisons), puis à fin 2023 (pour un problème de tuyauterie également). Et désormais à mi-2024. Ce nouveau report coûtera 500 millions d'euros à l'exploitant, pour une facture totale de 13,2 milliards d'euros.
Un problème imprévu
EDF a rencontré cet été un nouveau problème imprévu. Jusqu'alors, les opérations de reprise de soudures se déroulaient sans accroc. Mais après avoir fait une soudure…
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