
La chute de l’empire de l’homme d’affaires Sadri Fegaier se poursuit. L’histoire avait pourtant bien commencé en 1999. Alors âgé de 20 ans, le bagout et un BTS pour simple bagage, le jeune Drômois, vendeur et réparateur de téléphones portables dans une boutique du centre-ville de Romans-sur-Isère (Drôme), veut voir plus loin, plus haut.
Au moment où les téléphones portables deviennent des bijoux technologiques, lui a une idée : proposer une assurance tous risques. La Sfam (pour Société française d’assurances multirisques) naît en 2001. Sadri Fegaier prend l’ascenseur social et intègre le monde des affaires, en installant son siège social dans la ville qui l’a vu grandir, tout près du quartier de la Monnaie. Tout un symbole.
En quelques années, le jeune cavalier galope à tout à allure et...
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