
Le 15 mai, la vie de Maeva, 35 ans, enceinte de six mois et habitante au cœur de la vallée de l’Eyrieux (Ardèche), a été bouleversée par un courrier. Celui envoyé par Citroën pour lui indiquer que sa C3, achetée d’occasion en 2022, « est susceptible de provoquer des blessures graves, voire mortelles » si un airbag venait à se déclencher.
« J’ai d’abord cru à une blague même si c’était un courrier en recommandé », confie la néo-Ardéchoise, arrivée depuis Paris avec son compagnon il y a deux ans. Dans la foulée, elle a effectué quelques recherches sur internet et s’est aperçue que le sujet est très sérieux.
Un questionnaire qui suscite le doute
Comme indiqué dans la missive, elle a dû « cesser immédiatement » de...
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