19h30: Les données publiées par Santé publique France font état vendredi de 57.567 morts du coronavirus en France depuis le début de l'épidémie, soit 627 décès supplémentaires. Ce dernier chiffre comprend les remontées des décès survenus dans les ehpad et autres établissements médico-sociaux. Au total, 39.631 décès ont eu lieu à l'hôpital et 17.936 dans ces derniers établissements.
16h37: Le point sur ce que l'on sait cet après-midi
L’approbation d’un vaccin anti-Covid est attendue dans les tout prochains jours aux Etats-Unis, tandis que les laboratoires français Sanofi et britannique GSK ont annoncé vendredi que le leur ne serait prêt que fin 2021, prennant du retard dans la course aux vaccins.
Aux Etats-Unis, un comité d’experts indépendants a recommandé à l’Agence américaine des médicaments (FDA) d’autoriser un premier vaccin contre le Covid-19, développé par le duo Pfizer/BioNTech.
Le feu vert de l’agence devrait suivre et la vaccination commencer la semaine prochaine.
Le Royaume-Uni, le Canada, Bahreïn et l’Arabie saoudite ont eux déjà autorisé sa mise sur le marché.
L’issue de cet examen public des données aux Etats-Unis ne laisse guère de doute, a fortiori après la validation jeudi des résultats d’efficacité et de sécurité du remède dans la revue médicale américaine la plus cotée, le New England Journal of Medicine.
Le président élu Joe Biden a qualifié la décision des experts de la FDA de «lumière brillant dans une période inutilement sombre.» Une fois le vaccin approuvé aux Etats-Unis, restera à le distribuer - une tâche coordonnée par le gouvernement fédéral et confiée au secteur privé. Joe Biden a souligné que cette distribution serait un défi.
Les Etats-Unis, pays le plus touché au monde, viennent d’enregistrer près de 6.000 décès dus au virus en 48 heures, et leur bilan global approche des 300.000 morts.
Parallèlement à ces avancées aux Etats-Unis, Sanofi et GSK ont, eux, essuyé un revers: ils ont annoncé vendredi que leur vaccin anti-Covid ne serait prêt que fin 2021, après des résultats moins bons qu’attendu dans les premiers essais cliniques.
La conduite du programme «est retardée afin d’améliorer la réponse immunitaire chez les personnes âgées», indiquent les groupes.
Ils tablent désormais sur une mise à disposition du vaccin au quatrième trimestre l’an prochain, alors qu’ils visaient initialement une demande d’homologation au premier semestre de 2021.
Sanofi, qui développe ce vaccin conjointement avec GSK - qui lui fournit son adjuvant -, comptait récemment encore démarrer fin décembre la toute dernière phase d’essais sur l’homme avant l’homologation des autorités.
«Il n’est pas question d’abandonner» malgré le retard annoncé, a cependant affirmé à l’AFP le vice-président exécutif de Sanofi Pasteur, la branche vaccins de Sanofi, Thomas Triomphe. «Nous avons une mission de santé publique».
En France, soumise à un confinement depuis le 30 octobre, le Premier ministre Jean Castex a annoncé jeudi soir un déconfinement prudent pour le 15 décembre, remplacé par un couvre-feu qui s’appliquera même le 31 décembre.
Les attestations de déplacement sont supprimées, mais la réouverture des musées, cinémas et théâtres est repoussée de trois semaines, «le télétravail restera la règle» et un couvre-feu sera appliqué à partir de 20H00 tous les jours, à l’exception de la soirée de Noël.
Le 31 décembre, qui «concentre tous les ingrédients d’un rebond épidémique», sera également soumis au couvre-feu.
Le président Emmanuel Macron avait défini un seuil de 5.000 nouveaux cas par jour pour pouvoir déconfiner. Or l’objectif semble s’éloigner: 13.750 cas positifs ont encore été enregistrés en France jeudi.
L’inquiétude est également forte dans plusieurs pays voisins.
En Allemagne, la hausse du nombre d’infections au Covid-19 est «préoccupante» et «a même empiré depuis la semaine dernière», a estimé jeudi l’Institut de veille sanitaire Robert-Koch, pour lequel de nouvelles restrictions doivent «être considérées».
Le pays a enregistré jeudi 23.679 nouveaux cas de coronavirus - un record - et 440 décès. La veille, le nombre de morts en une seule journée avait atteint un record, à 590.
L’Allemagne, présentée comme le «bon élève» de l’Europe durant la première vague au printemps, a enregistré depuis l’apparition du virus 1,2 million d’infections et plus de 20.000 morts.
14h53: Les voyageurs arrivant au Royaume-Uni concernés par les mesures de quarantaine ou les citoyens "cas contact" d'une personne testée positive au Covid-19 ne devront plus s'isoler que 10 jours au lieu de 14, ont indiqué vendredi les quatre médecins en chef britanniques.
"Après avoir examiné les dernières données, nous sommes maintenant convaincus que nous pouvons réduire le nombre de jours d'isolement de 14 à 10 jours", ont annoncé dans un communiqué commun les médecins en chef des quatre nations constitutives du Royaume-Uni.
Avec plus de 63.000 morts, le Royaume-Uni est le pays européen le plus durement frappé par la pandémie, juste devant l'Italie. Le changement prendra effet lundi 14 décembre à 00H01 locales et GMT en Angleterre, Écosse et en Irlande du Nord, le Pays de Galles ayant déjà mis en place cette mesure.
"L'isolement, que ce soit pour les cas contacts identifiés par le service de traçage ou pour les voyageurs venant de l'étranger soumis à une quarantaine, est essentiel pour réduire la propagation du Covid-19", affirme le communiqué, qui "exhorte" les personnes concernées à bien rester chez elles pendant cette période, même si elle a été raccourcie.
13h58: Les émissions de CO2 d'origine fossile ont connu une baisse record de 7% en 2020, liée aux mesures de confinement prises contre l'épidémie de Covid-19, selon le bilan annuel du Global carbon project (GCP) publié vendredi.
Ce rapport s'intéresse aux émissions annuelles de CO2 d'origine fossile et à leur persistance dans l'atmosphère, responsables du changement climatique et de son lot de catastrophes.
Ce rapport est traditionnellement publié lors des conférence de l'ONU sur le climat. Cette année, sa publication intervient dans un contexte particulier, car la 26e COP prévue à Glasgow a été repoussée d'un an. Un sommet en ligne se tiendra samedi avec plusieurs chefs d'Etat pour marquer le 5e anniversaire de l'accord de Paris.
Ses résultats sont aussi inédits, avec une baisse estimée à 7% des émissions mondiales de CO2 fossiles sur l'année, soit 2,4 milliards de tonnes. Au plus fort du confinement au printemps, elles ont même chuté d'environ 17% comparé à 2019.
Jamais une telle diminution n'avait été observée auparavant, selon un communiqué de presse. Lors des précédentes crises mondiales (1945, 1981, 1992, 2009), elles n'avaient jamais dépassé 0,9 milliard de tonnes.
"La diminution des émissions en 2020 semble plus prononcée aux Etats-Unis (-12%), dans l'UE-27 (-11%) et en Inde (-9%), l'effet des restrictions Covid-19 s'ajoutant à une tendance précédente, et étant moins prononcée en Chine (-1,7%), où les mesures de restriction ont été prises au début de l'année et ont été plus limitées dans le temps", selon le communiqué.
En Chine, les émissions ont augmenté de 2% en 2018. "Il n'y aurait pas eu le Covid-19, cette croissance se serait probablement poursuivie", a expliqué Philippe Ciais, chercheur au Laboratoire des sciences du climat et de l'environnement lors d'une visio-conférence.
13h47: Il existe un « risque élevé » que la circulation du virus de Covid-19 reparte à la hausse « dans les prochaines semaines en France », prévient Santé publique France dans son dernier bulletin épidémiologique hebdomadaire, relevant que la plupart des indicateurs baissent désormais beaucoup moins vite.
« Après quatre semaines de forte décroissance de l’épidémie », la baisse du nombre de nouveaux cas de Covid-19 enregistrés par tests RT-PCR ou antigéniques a marqué le pas, à 72.121 nouveaux cas durant la semaine du 30 novembre, contre 76.500 la semaine précédente (-6%). Le taux de positivité est quasi stable à 6,4%, contre 6,5% la semaine précédente.
Dans les hôpitaux, le nombre de nouvelles entrées de patients atteints de Covid-19 a aussi légèrement diminué, de 9.247 durant la semaine du 23 novembre à 8.424 pour celle du 30 novembre (-9%), tout comme les admissions en réanimation qui sont passées de 1.346 à 1.127 (-16%). Le nombre de décès est passé de 3.204 à 2.589 (-19%).
« En semaine 49 (du 30 novembre au 6 décembre), l’évolution des principaux indicateurs de l’activité de suivi des contacts se stabilise, après quatre semaines de forte diminution », note Santé publique France.
« Après quatre semaines de décroissance de l’épidémie, l’évolution actuelle de l’épidémie suggère un risque élevé de voir la circulation du virus SARS-CoV-2 à nouveau augmenter dans les prochaines semaines en France et appelle à la plus grande vigilance, notamment dans la perspective des fêtes de fin d’année », ajoute l’agence sanitaire.
Le gouvernement a annoncé jeudi soir de nouvelles restrictions sanitaires par rapport à son plan initial, notamment le maintien d’un couvre-feu le soir du 31 décembre et la fermeture trois semaines de plus des cinémas, théâtres et musées, qui devaient rouvrir initialement le 15 décembre. Le chef de l’Etat avait conditionné l’allègement des restrictions à un objectif de 5.000 nouveaux cas par jour, alors qu’il se situe à environ 10.000 actuellement.
Pour les épidémiologistes de l’agence sanitaire, il est trop tôt pour attribuer cette évolution à la réouverture des commerces dits « non essentiels » le 28 novembre. En se montrant prudent, le responsable de l’unité infections respiratoires et vaccination de SpF, Daniel Levy-Bruhl, a dressé deux hypothèses: d’une part, « un certain relâchement des mesures individuelles de prévention », d’autre part, « des facteurs météorologiques ».
« On a de bonnes raisons de penser que les facteurs climatiques jouent sur la dynamique épidémique, ne serait-ce que par la synchronicité des reprises épidémiques dans différents pays qui ont des politiques différentes de gestion du risque lorsque le thermomètre chute ou augmente », a-t-il relevé.
Mais « on ne sait pas très bien faire la part entre l’effet direct de la météo sur le virus, sa virulence, sa persistance dans les voies aériennes et l’effet indirect qu’a le froid et le mauvais temps en général sur les comportements humains », notamment une moins bonne aération des pièces.
12h22: Le gouvernement va mobiliser l’an prochain encore plus de 20 milliards d’euros pour soutenir les entreprises et les ménages touchés par la crise, a annoncé vendredi le ministre de l’Economie Bruno Le Maire, contraint de prolonger certaines aides d’urgence face à l’épidémie de Covid.
« Il n’est pas temps de lever les mesures de soutien à l’économie », a indiqué le ministre lors d’une conférence de presse téléphonique, et cette « aide massive », qui sera intégrée au projet de Budget pour 2021 en cours d’examen au Parlement, sera réorientée « sur les secteurs les plus impactés », a-t-il ajouté.
Le Premier ministre Jean Castex a annoncé jeudi que le déconfinement serait moins rapide que prévu, ce qui va encore accroître l’impact de l’épidémie de Covid-19 sur de nombreuses entreprises, en particulier dans les activités de loisirs, la restauration ou l’évènementiel.
Et quand les secteurs fermés rouvriront, ce sera au prix de conditions sanitaires strictes, qui risquent de limiter leur activité.
Le « pilier » de cette nouvelle phase de soutien d’urgence, sera le fonds de solidarité dont les conditions d’attribution ont été renforcées en décembre, a détaillé Bruno Le Maire.
Le gouvernement prévoit d’y consacrer 7 milliards d’euros en 2021, en le maintenant « au moins jusqu’à fin juin ».
Il mobilise aussi 11 milliards d’euros pour la prise en charge du chômage partiel, à la fois dans le cadre du dispositif existant, qui sera maintenu au moins jusqu’à fin janvier, et pour l’activité partielle de longue durée.
Le gouvernement prévoit aussi 1 milliard d’euros d’exonérations de charges pour les entreprises.
A cela s’ajoute des aides pour les stations de ski, les jeunes, l’aide alimentaire ou encore les aéroports.
Sur ces 20 milliards, 8,5 milliards seront financés via des reports de crédits non dépensés cette année pour le chômage partiel, le fonds de solidarité et les exonérations de charges.
Malgré tout, avec une prévision de croissance que le gouvernement maintient à 6% pour l’an prochain, le déficit et la dette vont finalement être plus élevés que ce qu’il anticipait jusqu’ici.
Le déficit devrait atteindre 8,5% du PIB (contre 6,7% prévu initialement), après 11,3% attendu cette année.
La dette va continuer à flamber l’an prochain, alors que le gouvernement espérait amorcer sa décrue grâce à la reprise. Il l’attend à 122,4% du PIB (contre 116,2% prévu jusqu’ici), après 119,8% cette année.
11h45: Emmanuel Macron a appelé vendredi les Français à « redoubler de vigilance » face au Covid-19 lors des réunions de famille pour Noël, car « c’est dans ces moments, quand on se relâche (...) qu’on diffuse le virus ».
Lors d’une conférence de presse à l’issue d’un sommet européen à Bruxelles, il a appelé à « être attentif à l’autre, prendre soin les uns des autres ».
« Noël est entre nos mains », a-t-il dit: « Evidemment on doit se retrouver, mais moins que d’habitude pour Noël, moins nombreux », et en respectant les gestes barrières, en portant le masque, « y compris dans des moments familiaux ou amicaux », a souligné le chef de l’Etat.
Ainsi les Français pourront « tenir en bonne santé ces fêtes », « en sortir en bonne santé », et « ne pas (se) retrouver dans une situation où l’épidémie aurait repris de plus belle ».
Il y a « beaucoup de règles et je sais qu’elles vous pèsent », mais la volonté de l’Etat est de « vous protéger », a-t-il aussi souligné.
Au lendemain de l’annonce par le gouvernement d’un déconfinement plus progressif qu’escompté initialement à compter du 15 décembre, le chef de l’Etat a en outre jugé que « nous aurions été irresponsables à ouvrir et faire comme si tout se passait très bien ».
Alors que les musées, cinémas et salles de spectacle resteront finalement fermés trois semaines de plus, il a dit avoir « une pensée toute particulière pour tous les artistes » dans cette « phase de contrainte forte ».
Il a jugé que l’évolution de l’épidémie dans le pays ces dernières semaines « prouve qu’un confinement adapté état une bonne mesure », en estimant que la France est « aujourd’hui un des pays européens qui (la) maîtrise le mieux » - même si l’Allemagne ou l’Italie n’en sont, elles, qu’au début de la deuxième vague a-t-il reconnu.
Remerciant les Français pour leurs « efforts », il a estimé qu’ils avaient maintenant « besoin de souffler et pouvoir se retrouver en famille ».
11h31: Le laboratoire AstraZeneca et la Russie ont annoncé vendredi des essais cliniques communs combinant leurs deux vaccins contre le nouveau coronavirus.
« Nous annonçons un programme d’essais cliniques pour évaluer la sécurité et l’immunogénicité de la combinaison d’AZD1222, développé par AstraZeneca et l’Université d’Oxford, et Spoutnik V, développé par l’institut de recherches Gamaleïa », a indiqué la branche d’AstraZeneca en Russie dans un communiqué, précisant que les essais seraient pratiqués sur des personnes âgés de 18 ans ou plus.
Les deux vaccins, AZD1222 et Spoutnik V, utilisent des adénovirus humains comme vecteurs.
Dans un communiqué publié vendredi, le fonds souverain russe, qui participe au développement du vaccin, a indiqué avoir proposé le 23 novembre à AstraZeneca l’utilisation d’une des deux composantes du vaccin Spoutnik V.
« AstraZeneca a accepté la proposition (...) d’utiliser un des deux vecteurs du vaccin Spoutnik V dans des essais cliniques supplémentaires de leur propre vaccin, qui commenceront avant la fin de l’année », ajoute le fonds souverain russe.
« Les combinaisons de différents vaccins contre le Covid-19 peuvent être une étape importante pour générer une plus large protection par le biais d’une réponse immunitaire plus importante et une meilleure accessibilité », a précisé AstraZeneca.
L’espoir est qu’une combinaison des deux produits puisse entraîner une « meilleure réponse immunitaire ».
La Russie affirme que son vaccin Spoutnik V est efficace à 95%. Il est actuellement en phase 3 d’essais cliniques auprès de plus de 40.000 volontaires. Le pays a commencé la semaine dernière la vaccination de sa population contre le coronavirus, commençant par les professions à risque.
Le laboratoire AstraZeneca et l’université d’Oxford ont annoncé pour leur part que leur vaccin était efficace à 70% en moyenne.
10h40: Le Conseil d'Etat ne suspend pas la fermeture des remontées mécaniques des stations de ski. Les remontées mécaniques des stations de ski seront fermées au public mais resteront ouvertes pour certains groupes, comme les professionnels ou jeunes licenciés au sein d'une association sportive affiliée à la Fédération de ski, selon un décret publié samedi dernier au Journal officiel.
Ce décret confirme que les remontées mécaniques "ne sont pas accessibles au public", mais définit toutefois un certain nombre d'exceptions.
Ces exceptions concernent notamment "les professionnels dans l'exercice de leur activité", mais aussi "les pratiquants mineurs licenciés au sein d'une association sportive affiliée à la Fédération française de ski", selon le texte du décret.
10h32: Noël oui, le Nouvel An non. Face à une situation sanitaire moins favorable qu’anticipé, les Français pourront de nouveau circuler partout dès mardi mais seulement la journée, avec un couvre-feu avancé à 20 heures, qui ne sera levé que pour Noël.
Jean Castex a par ailleurs douché les espoirs du monde de la culture: les cinémas, théâtres et musées ne pourront rouvrir le 15 décembre, comme initialement prévu, mais devront rester fermés trois semaines de plus.
Au cours d’une conférence de presse, Jean Castex a fixé le nouvel «objectif»: «permettre à chacune et chacun de profiter des fêtes de fin d’année» mais tout faire «pour réduire le risque de devoir vivre un 3ème confinement dans les prochains mois».
Or, «la partie est loin d’être gagnée» et «l’amélioration de l’épidémie» de coronavirus «marque le pas depuis une semaine» en France, a-t-il prévenu, en appelant à nouveau à «la mobilisation de tous».
De ce fait, la France sortira bien du confinement le 15 décembre et les déplacements seront de nouveau autorisés partout en France, comme l’avait annoncé Emmanuel Macron fin octobre.
Mais seulement la journée car il y aura un couvre-feu plus sévère que prévu puisqu’il débutera à 20H et non à 21H, et jusqu’à 06H, sauf en Outre-mer.
Seule exception: les déplacements seront autorisés le soir de Noël, le 24 décembre, a indiqué le chef du gouvernement en recommandant à nouveau de réunir «pas plus de six adultes à la fois». Il a aussi conseillé de «limiter les interactions au cours des 5 jours précédents» en cas de rencontre avec une personne âgée ou vulnérable.
Il faudra en revanche rester chez soi le 31 décembre, car le réveillon du Nouvel An «concentre tous les ingrédients d’un rebond épidémique», selon Jean Castex, qui n’a pas rejeté qu’on puisse inviter quelques personnes en respectant le couvre-feu.
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