
Les importations européennes et françaises de gaz russe sont orientées à la hausse depuis le début de la guerre en Ukraine. Que se passe-t-il ?
Avant de répondre sur nos enjeux spécifiques, permettez-moi de rappeler que nous condamnons l'invasion de l'Ukraine , ainsi que notre conseil d'administration a tenu à le marquer avec fermeté. Deuxième élément, nous n'avons pas d'activité industrielle ni en Russie, ni en Ukraine. Nous achetons du gaz russe , qui représente 20 % de nos ventes et consommation mondiales, dans le cadre de contrats de long terme. En ce qui concerne les livraisons de Gazprom, elles continuent à arriver normalement en France et en Europe actuellement. La progression que vous évoquez par rapport au mois dernier n'est pas significative et résulte d'arbitrages ponctuels par les acheteurs, dont Engie. Gazprom remplit ses obligations contractuelles, comme il l'a toujours fait. Cette logique prévaut également pour les livraisons de gaz naturel liquéfié (GNL), qui se poursuivent.
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