(Boursier.com) — LA TENDANCE
Alors que les marchés financiers donnent des signes d'essoufflement, la Bourse de New York a marqué une pause hier soir à l'issue d'une séance hésitante. Les investisseurs étaient partagés après la publication de statistiques économiques contradictoires aux Etats-Unis. Devant le Sénat, le président de la Fed, Jerome Powell, a affirmé que la croissance américaine devrait rester solide cette année malgré la montée des risques. Ces derniers justifient cependant que la banque centrale marque une pause dans son cycle de resserrement monétaire, a-t-il confirmé...
A Paris, le CAC40 qui a terminé en légère hausse hier hésite aussi ce mercredi, attendu en léger retrait.
A la clôture, l'indice Dow Jones a cédé 0,13% à 26.057 points, tandis que l'indice large S&P 500 a reculé de 0,08% à 2.793 pts et que le Nasdaq composite, riche en valeurs technologiques et biotechnologiques, a fléchi de 0,07% à 7.549 pts. Sur le marché des changes, le dollar a cédé du terrain après les propos jugés "colombe " du président de la Fed... L'indice du dollar, qui reflète son évolution face à un panier de devises de référence, a cédé 0,39% à 96,04 points tandis que l'euro a progressé de 0,3% à 1,1393$. Sur les marchés obligataires américains, les taux d'intérêts se sont détendus : le rendement du T-Bond à 10 ans a cédé mardi 3 points de base à 2,64%.
ECO ET DEVISES
Lors de son audition semestrielle devant la Commission bancaire du Sénat américain, Jerome Powell a estimé que la croissance de l'économie américaine devrait rester solide cette année malgré la montée des risques et des indicateurs conjoncturels moins soutenus récemment. Le patron de la Fed a répété que la banque centrale resterait "patiente" en ce qui concerne de futures hausses de taux... M. Powell a évoqué des "vents contraires et de signaux contradictoires" intervenus récemment, qui ont affaibli les arguments en faveur de nouvelles hausses de taux et rendu des perspectives favorables dans l'ensemble moins certaines.
Pour autant, en 2019, l'économie américaine "croîtra à un rythme solide bien qu'un peu plus lent qu'en 2018 et le marché du travail restera solide", a-t-il ajouté.
Il a ajouté que la Fed était confiante que le rythme de hausse des prix devrait rester proche de son objectif de 2% par an, après prise en compte de l'effet temporaire de la baisse des prix du pétrole. Jerome Powell s'exprimera une nouvelle fois ce mercredi, cette fois devant la Commission des services financiers de la Chambre des Représentants, où les démocrates sont devenus majoritaires depuis les élections de mi-mandat de novembre.
A suivre ce mercredi aux Etats-Unis :
- Balance du commerce international de biens. (14h30)
- Commandes industrielles américaines. (14h30)
- Intervention de Jerome Powell devant le Comité financier de la Chambre des représentants. (16h00 : Témoignage semi-annuel de politique monétaire.)
- Promesses de ventes de logements. (16h00)
- Indice de confiance des investisseurs institutionnels mesuré par State Street. (16h00)
- Rapport hebdomadaire du Département à l'énergie concernant les stocks pétroliers domestiques. (16h30)
La livre sterling s'est illustrée en rebondissant de 1,2% à 1,3255$ alors qu'un report du Brexit au delà de la date-butoir du 29 mars paraît de plus en plus probable. La Première ministre britannique Theresa May a indiqué qu'en cas de nouveau rejet par le parlement de l'accord conclu avec l'UE, elle laisserait ce même parlement décider d'un report, dans un autre vote prévu le 14 mars. Les marchés, qui craignent par dessus tout une sortie du Royaume-Uni sans accord, ont été soulagés à l'idée d'un report de l'échéance. Mme May a cependant précisé que cette "extension courte et limitée" des négociations ne pourrait aller au-delà de la fin juin, en raison des élections européennes auxquelles Londres ne souhaite pas participer.
Le pétrole a lui aussi tenté de rebondir après sa correction provoquée par un tweet de Donald Trump dénonçant des cours du pétrole trop élevés. Le Brent pointe à 65$ ce matin, tandis que l'euro cote sous les 1,14/$. L'or revient à 1325$.
VALEURS A SUIVRE
Air France-KLM : Le gouvernement néerlandais a acquis une part de 12,68% dans Air France-KLM afin de renforcer son influence dans le groupe aérien, a déclaré mardi le ministre néerlandais des Finances. "L'objectif est d'obtenir à terme une position équivalente à celle de l'Etat français", qui détient actuellement une participation de 14,3% dans le groupe, a dit Wopke Hoekstra lors d'une conférence de presse à La Haye. L'irruption des Pays-Bas au tour de table d'AF-KLM intervient après plusieurs semaines de tension entre le conseil d'administration, à dominante française, et le gouvernement néerlandais au sujet du poids des Pays-Bas sur la stratégie et la direction de l'entreprise.
Cette démarche constitue "une étape décisive pour la protection des intérêts néerlandais", a précisé Wopke Hoekstra à des journalistes. "L'acquisition de cette participation nous assure un siège à table."
"A plusieurs reprises ces dernières années, les intérêts néerlandais n'ont pas été suffisamment pris en compte dans les décisions concernant l'entreprise dans son ensemble", a en outre jugé Wopke Hoekstra dans une lettre adressée au Parlement mardi. "De notre point de vue, les conséquences possibles pour les intérêts néerlandais ne bénéficient pas d'une considération suffisante dans l'organisation actuelle", a ajouté le ministre.
Le 19 février dernier, le Conseil d'administration du groupe a décidé de reconduire Pieter Elbers à la tête de la compagnie KLM pour un nouveau mandat de 4 ans. Dans les semaines précédentes, le poste de M. Elbers avait semblé être menacé face aux projets du PDG du groupe, Benjamin Smith, qui entend mettre en place une intégration plus poussée au sein du groupe. Pieter Elbers (soutenu par le personnel de KLM et le gouvernement néerlandais), est donc parvenu à conserver son poste de président du directoire. En outre, il a été nommé au poste de directeur général adjoint du groupe Air France-KLM, tout comme son homologue d'Air France, Anne Rigail.
Les résultats annuels d'Air France KLM, publiés le 20 février, ont marqué une nouvelle fois le gros écart de performance entre les branches française et néerlandaise de l'entreprise.
Certes impactée par les grèves du premier semestre, Air France a vu sa rentabilité fondre de 3,8 points en 2018 avec une marge opérationnelle limitée à 1,7%. KLM est, à l'inverse, parvenu à maintenir un solide niveau de profitabilité avec un résultat opérationnel quasi stable de 1,073 milliard d'euros, matérialisant une marge de 9,8% (-0,6 point).
Mardi soir, le ministre français de l'Economie, Bruno Le Maire, a pris acte de l'entrée de l'Etat néerlandais au capital d'Air France-KLM tout en soulignant que le groupe de transport aérien, dont la France possède 14,3%, devait être géré "sans interférence étatique nationale".
"Je prends acte de cette prise de participation du gouvernement néerlandais, qui s'est faite sans information du conseil d'administration ni du gouvernement français", a dit Bruno Le Maire, selon une déclaration transmise à la presse par son entourage. "Je réaffirme mon soutien à la stratégie de l'entreprise et de son management. Il est essentiel de respecter les principes de bonne gouvernance et qu'Air France-KLM soit géré dans l'esprit de son intérêt social sans interférence étatique nationale", a-t-il ajouté.
bioMerieux : Le groupe présente ses résultats annuels au 31 décembre 2018, marqués par une croissance organique du chiffre d'affaires de 9,9% à 2.421 millions d'euros, soit +5,8%, à données publiées après un solide 4e trimestre à plus de 10% de croissance organique.
La direction souligne l'amélioration du résultat opérationnel courant contributif qui atteint 361 millions d'euros, soit près de 15% du chiffre d'affaires, malgré des effets de change défavorables. La charge d'amortissement des actifs revalorisés à la date d'acquisition de BioFire a atteint 18 millions d'euros en 2018, stable d'une année sur l'autre. Ainsi, le résultat opérationnel du Groupe en 2018 a atteint 343 millions d'euros, en hausse de 9% par rapport aux 315 millions d'euros enregistrés en 2017.
La charge financière nette a représenté 23 millions d'euros en 2018, en légère augmentation par rapport à 2017 où elle s'est élevée à 22 millions d'euros.
Le coût de l'endettement financier net a représenté 18,5 millions d'euros en 2018, contre 16,2 millions d'euros en 2017, et les autres produits et charges financiers se sont élevés à 4,5 millions d'euros, à comparer à 6,2 millions d'euros en 2017 grâce à une baisse des coûts des couvertures sur les changes.
Au 31 décembre 2018, le taux effectif d'impôt (TEI) du Groupe a atteint 20,3%, à comparer à 18,6% au terme de l'exercice 2017 qui avait bénéficié d'éléments non récurrents au titre de la réforme fiscale américaine. En 2018, le TEI reflète l'impact positif récurrent de cette même réforme et a été favorisé par le versement d'une contribution exceptionnelle au plan de retraite américain et à la résolution favorable d'un litige fiscal en Suède.
Au total, le résultat de l'ensemble consolidé s'est établi en 2018 à 257 millions d'euros, en progression de 8,3% par rapport aux 238 millions d'euros enregistrés en 2017.
L'EBITDA a atteint 519 millions d'euros à fin décembre 2018, soit 21,4% du chiffre d'affaires, en hausse de 9% comparé aux 475 millions d'euros de l'année 2017. Cette hausse reflète la progression du résultat opérationnel courant contributif et des dotations aux amortissements et provisions d'exploitation.
Les décaissements d'impôt ont représenté 65 millions d'euros, en baisse par rapport aux 91 millions d'euros versés l'année précédente, du fait de la mise en place de la réforme fiscale américaine qui a abaissé le taux d'imposition fédéral de 35% à 21%.
Les objectifs 2019 passent par une croissance organique des ventes comprise entre 7 et 8,5%, à taux de change et périmètre constants et un Résultat opérationnel courant contributif compris entre 385 et 400 millions d'euros à taux de change courants.
Safran a fait mieux que ses objectifs de progression du chiffre d'affaires et de bénéfice d'exploitation en 2018. L'équipementier a réalisé un chiffre d'affaires de 21,050 milliards d'euros, en hausse de 10,4% sur une base organique, contre une croissance attendue entre 7% et 9%. Le résultat opérationnel courant a grimpé de 24,7% à 3,023 milliards d'euros, hors Zodiac Aerospace, contre une hausse attendue d'environ 20%.
Le consensus de place anticipait en moyenne un chiffre d'affaires de 21 milliards d'euros et un bénéfice d'exploitation de 2,9 milliards en 2018.
Safran a expliqué que la montée en cadence de la production du nouveau moteur LEAP se poursuivait avec la livraison de 1.118 unités l'an dernier. CFM, coentreprise avec General Electric, est en bonne voie pour livrer plus de 1.800 moteurs LEAP cette année, a commenté le groupe qui s'attend donc à une poursuite de sa croissance.
Cybergun indique avoir réussi un très bon salon 'SHOT Show', le rendez-vous mondial des professionnels du tir, qui a eu lieu du 22 au 25 janvier dernier à Las Vegas. Après 2 éditions consécutives qui se sont soldées par des prises de commandes de l'ordre de 2M$ chacune, le groupe a bouclé cette dernière édition avec un carnet de commandes de 3,2 M$, soit une augmentation de 60%. Cette très forte accélération commerciale confirme la perspective d'un regain d'activité plus global dans une zone stratégique qui représentait près de 40% des facturations sur le dernier exercice.
Le Groupe constate notamment un retour en force des chain stores (grands magasins) dont l'activité avait fortement reculé au cours des dernières années, entre changement de politique commerciale et difficultés financières. Ce succès commercial est d'autant plus remarquable que les commandes enregistrées proviennent uniquement du secteur civil alors que plusieurs entités militaires américaines sont venues découvrir ou redécouvrir les offres du Groupe pour l'entrainement des forces. La division 'SPARTAN MILITARY AND LAW ENFORCEMENT' était d'ailleurs présente sur le salon, sous la direction du Général (2S) Jacques Aragones, et plusieurs discussions sont engagées pouvant aboutir à des prises de commandes additionnelles au cours des prochains mois, souligne la firme.
Solvay publie un EBITDA sous-jacent annuel de 2.230 ME, en hausse de +5,3% à périmètre et change constants. La croissance du chiffre d'affaires s'est établie à 5,7% à périmètre et change constants grâce à la hausse des volumes sur l'ensemble des segments et à l'évolution favorable des prix, de quoi faire ressortir une Marge d'EBITDA solide à 22%.
Le Résultat Par Action total ressort à 10,57 euros, en hausse de 16% par rapport à 2017, principalement grâce à la baisse des charges financières.
Sur le T4, l'EBITDA sous-jacent est de 506 ME (+2,5% ; +3,6% à périmètre et change constants) avec une croissance des ventes de 4,3% à périmètre et change constants principalement grâce à une dynamique des prix favorable. La croissance des volumes de matériaux composites destinés à l'aéronautique et de peroxyde a été partiellement compensée par la baisse de la demande dans les "smart devices" et la baisse significative dans les activités de pétrole et de gaz non-conventionnels. Les volumes destinés au marché automobile sont restés positifs malgré quelques signes de faiblesse observés en fin d'année.
Le Free cash flow des activités poursuivies est de 830 ME contre 782 ME en 2017 sur fond de solide génération de cash au quatrième trimestre avec 830 ME (activités poursuivies), en hausse de 6,1% sur un an.
La proposition de dividende 2018 est de 3,75 euros par action payable le 23 mai 2019, soit un dividende brut final de 2,31 euros, en tenant compte d'un dividende intérimaire de 1,44 euro versé en janvier.
Suez : Le Conseil d'Administration de Suez, lors de sa réunion du 26 février, a désigné, à l'unanimité, Jean-Louis Chaussade comme futur Président du Conseil d'Administration de Suez à compter du 14 mai 2019. Le Conseil d'Administration a considéré que son parcours au sein du Groupe, son expérience et sa connaissance des métiers, des partenaires et des valeurs de Suez, le qualifiaient pleinement pour succéder à Gérard Mestrallet, dont le mandat de Président du Conseil prendra fin à l'issue de l'Assemblée Générale du 14 mai prochain, conformément aux statuts de la société.
Avec la désignation de Bertrand Camus comme Directeur Général, une nouvelle période s'ouvre pour Suez. L'année qui vient va être marquée par sa prise de fonction et celle de l'équipe qu'il va former, l'élaboration par cette équipe et la validation par le Conseil d'Administration d'un plan stratégique pour Suez à l'horizon 2030. Sous la présidence de Jean-Louis Chaussade, le Conseil d'Administration va contribuer au succès de cette année très importante pour Suez, et apporter au nouveau Directeur Général le soutien nécessaire, estime le Conseil qui forme tous ses voeux de succès et de réussite à Jean-Louis Chaussade dans ses nouvelles fonctions.
Arkema publie un Chiffre d'affaires à 8,8 MdsE, en hausse de 5,9% par rapport à 2017, dont 7,9% de croissance organique. L'EBITDA ressort à 1.474 ME, en progression de 6% par rapport à l'excellente performance de 2017 et à un nouveau plus haut historique. La fin d'année est ressortie très solide avec un EBITDA de 287 ME au 4T 2018, légèrement supérieur au 4T 2017.
La Marge d'EBITDA s'établit à 16,7%, stable à des niveaux élevés dans un contexte de matières premières et devises plus défavorable, et marge de REBIT en légère augmentation à 11,6% (11,3% en 2017). Le résultat net courant ressort en forte hausse de 22,5% à 725 ME, soit 9,51 euros par action (7,82 euros en 2017). Le Flux de trésorerie libre est de 499 ME malgré l'accélération des grands projets de croissance organique. La Dette nette est en baisse à 1 MdE, soit 0,7x l'EBITDA 2018
Pour l'année en cours, le groupe insiste sur la poursuite de l'intégration des acquisitions ciblées et de la mise en place des synergies dans les adhésifs, ainsi que sur la montée en puissance des investissements de croissance organique dans les matériaux avancés et la Thiochimie.
Le groupe propose d'augmenter le dividende à 2,50 euros par action (2,30 euros au titre de 2017).
Le début de l'année reste marqué par un environnement volatil et par certaines tensions géopolitiques qui peuvent peser sur le niveau global de la demande. Dans ce contexte, Arkema donne la priorité à sa dynamique interne et au déploiement de sa stratégie long terme.
Le Groupe poursuit ainsi la mise en oeuvre de ses projets industriels qui renforcent ses positions dans les activités de spécialités et les zones à plus forte croissance, sa politique d'innovation au service du développement durable, sa dynamique d'acquisitions dans les adhésifs, ses initiatives en matière d'excellence opérationnelle et sa politique de hausses ciblées de ses prix de vente. En 2019, tout en restant attentif à l'évolution de l'environnement macro-économique, Arkema vise à démontrer sa résilience dans cet environnement plus complexe et à consolider sa performance financière à de hauts niveaux. Sur le premier trimestre, l'EBITDA est attendu en légère baisse par rapport à la base de comparaison très élevée du 1er trimestre 2018. Sur l'ensemble de l'année, le Groupe a pour ambition de réaliser un EBITDA comparable au niveau record de 2018, avec une dynamique qui devrait monter en puissance au cours de l'année, soutenue notamment par la croissance de ses activités de spécialités.
GTT : Le chiffre d'affaires de GTT s'établit à 246 ME en 2018, par rapport à 240,8 ME en 2017, soit une hausse de 2,2% sur la période. L'Ebitda progresse de 11% à 168 ME.
Le résultat net atteint 142,8 ME sur l'exercice 2018, en hausse de 15,1% par rapport à l'année précédente. Le taux de marge nette atteint 58,1%.
Au 31 décembre 2018, la société disposait d'une situation de trésorerie nette positive de 173,2 ME. Cette progression s'explique principalement par l'évolution du besoin en fond de roulement.
Le Conseil d'Administration du 26 février 2019, après avoir arrêté les comptes, a décidé de proposer la distribution d'un dividende de 3,12 Euros par action au titre de l'exercice 2018. Pour 2019, GTT vise un chiffre d'affaires dans une fourchette de 255 à 270 ME, un Ebitda dans une fourchette de 150 à 160 ME avec un dividende correspondant à un taux minimum de distribution de 80% du résultat net consolidé.
Altarea Cogedim : Le chiffre d'affaires d'Altarea Cogedim au 31 décembre 2018 s'établit à plus de 2,4 Milliards d'Euros en progression de 24%. Le résultat net récurrent (FFO) part du Groupe s'élève à 276,2 ME, en progression de +7,8% sur un an. Ramené par action, le FFO progresse de +5,2% à 17,27 Euros après prise en compte de l'augmentation du nombre moyen d'actions. A fin 2018, l'ANR de continuation dilué reste stable à 174,3 Euros par action.
Le dividende est fixé à 12,75 Euros par action, soit +2%.
Rexel a réalisé avec succès le placement de ses obligations senior non assorties de sûretés et remboursables en 2026 (Obligations) pour un montant de 600 millions d'euros au taux de 2,75%. Le règlement-livraison et la cotation des obligations sur le marché Euro MTF de la Bourse du Luxembourg devraient intervenir autour du 12 mars 2019.
Les obligations, venant à échéance le 15 juin 2026, peuvent faire l'objet d'un remboursement anticipé au gré de Rexel à compter de mars 2022. Elles viendront au même rang que le contrat de crédit senior et les autres obligations senior non assorties de sûretés de Rexel.
Les obligations devraient faire l'objet de la notation suivante : 'Ba3' par Moody's (la notation corporate de Rexel étant 'Ba2' avec une perspective 'stable') et 'BB-' par S&P (la notation corporate de Rexel étant 'BB', avec une perspective 'stable').
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